Départ de Cagliari

Publié le par dam-marine

La saison hivernale se termine.


Après avoir visité Cagliari sur toutes les coutures, travaillé les cours du CNED qui ne sont pas une mince affaire et demande beaucoup de travail de la part de l'élève et du professeur, effectué de menus travaux sur DAM-MARINE, nous préparons notre départ pour aller caréner au chantier VALDES à Arbatax à l'est de l'île.

 

Nous avons bien aimé Cagliari car c'est une ville riche en histoire et en culture traditionnelle.

Nous avons tout à porté de main, le bus pour se déplacer mais..., car il y a un mais, nous manquons de chlorophylle. En Espagne, nous avions la campagne, mais la ville était trop loin.


La prochaine fois, nous espérons trouver le juste milieu.

 

En attendant nous recommençons une nouvelle saison et sommes heureux comme des poissons dans l'eau. Il reste 6 semaines d'école, les grandes vacances début juin.


A NOUS LA LIBERTE TOTALE!!!


Vu les coquillages qui prolifèrent à la flottaison, on se dit que ce ne doit pas être beau sous la coque. Loulou plonge pour aller inspecter et se fait vite rappeler à l'ordre par la capitainerie car «il est interdit de plonger dans les ports commerciaux en Italie».

Il a eu le temps d'apercevoir une grosse boule de coquillages, de moules et de parasites bizarres à la place de l'hélice et le gouvernail n'est même plus visible.

Un plongeur professionnel viendra dégager ces deux pièces importantes pour pouvoir nous déplacer.

 

Nous quittons Cagliari le 25 avril 2010 et allons mouiller à Piccola del Poetto. Nous nous mettons tous les trois à l'eau, vêtus de nos combinaisons (quand-même), et grattons la coque au maximum. Le niveau de la flottaison remonte de 5cm et nous gagnons 1 nœud en navigation.


Une dernière étape à Villasimius ou Bastien se jette à l'eau dans une mer bleue turquoise.

 

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Les chiens ont repris leur liberté et c'est un bonheur de les voir se débattre sur la plage.

En ville, il n'était pas question de les lâcher car il y a beaucoup de circulation, mais surtout les détritus jonchent les trottoirs, les parterres...

Les SOS sur l'environnement et la sauvegarde de notre planète ne doivent pas arriver jusqu'ici. Ça me hérisse le poil de voir toute cette saleté alors que les poubelles sont à 10 mètres. Dès qu'il y a un terrain vague, il est transformé en décharge. Les plages sont couvertes de canettes, de papiers...

C'est un geste naturel pour les italiens. Ils laissent tout derrière eux. BEURK!!!!

 

Le printemps est là !

 

Que de fleurs...

 

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Nous faisons escale à Porto Corallo, puis arrivons à Arbatax le 29 avril.

Publié dans voilier

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